vendredi 11 mai 2012

Chau Doc – Can Tho : En plein dans le trafic…


Amateurs de sensations fortes, placez-vous à l’avant d’un minibus local. Fangio, au volant, 20 ans, beau comme un dieu, vous fait ressentir des émotions uniques. 

Pourquoi un minibus ? Parce qu’il se faufile partout, double très vite, prend facilement les contre-sens…

Curieusement les accidents sont rares. On rencontre plus facilement des chargements tombés sur la chaussée, des crevaisons avec arrêt immédiat (il n’y a pas de bas-côtés) que de collisions ou de carambolages…

Il faut dire que notre Fangio a mis trois brins d’encens à brûler sur son minibus avant de prendre le volant. Mais il a mis autre chose : des cigarettes de contrebande : toutes les planques possibles du bus sont utilisées.

Il faut sortir des sentiers battus… On est arrivé sains et saufs à Can Tho.










On arrive ! On va se régaler !!!







L'image du jour :

Pratique :
Bus Chau Doc - Can Tho : 6$/2 (Billet acheté à agence sur place du marché et départ du bus à cet endroit)

A Can Tho
Hôtel Than Thuy - 68 Hai Ba Trung - 12$ la double
restau Phieu Tinh Tien Ban 10 - 4 Hai Ba Trang -2 plats + bière) : 10$ (TB)
Restau végétarien (vers Chau Van Lien ???) : Pho + Mi Xao - Excellent  - 1,60$/2

2 commentaires:

  1. Il faut vivre dangereusement. Mais on aurait aimé voir Fangio de face... pour pouvoir juger de la divinité, mais bon!!!
    Je ne vais pas inciter mon homme à lire ce compte-rendu, car, même s'il est en retraite depuis bientôt 4 ans, il n'a pas encore totalement décroché du boulot, et en la matière, la contrebande fut très longtemps son dada. D'ailleurs ses "clients" étaient plus inventifs et discrets pour leurs cachettes (avec ses collègues, ils ont démonté quelques véhicules, mais le problème, c'était pour les remonter ensuite...).
    A quoi sert le foulard devant le visage? Mouches, mauvaise haleine, acné, ou tout ensemble???
    Bisous,
    Geneviève

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  2. Dites-moi, les cigarettes là, il ne les "planquait" pas vraiment ? il se contentait de les ranger là où il y avait de la place plutôt, non ?
    Non ? ah bon !!!

    Bises
    Bernadette

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